Imaginons ensemble la vie dans notre commune en 2030…

Clémentine est élève à la maternelle Gambetta, aujourd’hui elle a appris à écrire son prénom, mais elle a aussi planté des haricots verts dans le jardin potager de l’école avec l’aide de l’ATSEM attachée à sa classe. Benjamin, son papa, vient la chercher.   Il a travaillé toute la journée à développer une application numérique pour aider au recyclage des déchets au sein du tiers-lieu installé en centre- ville. Ensemble, ils décident d’aller faire un tour à la ludothèque pour jouer.

Élodie a quinze ans, elle habite aux Bruyères, elle  a fini ses devoirs de maths. Elle appelle ses amis pour programmer ses activités du week-end : il faut choisir entre le concert au SEL, le stage de danse organisé par une association à la salle Polyvalente, le match de foot…Finalement, ils se retrouveront au resto mobile pour décider.

Étienne est un habitant du quartier Montespan. A la retraite, tous les matins, il rejoint le coach sportif de la ville qui organise des marches actives. Demain, Étienne a rendez-vous chez son généraliste pour vérifier sa tension. Il ira à pied, les trottoirs sont confortables et végétalisés. Son rasoir ne marche plus très bien, il faut qu’il pense à le déposer à la ressourcerie pour tenter de le réparer.

Anissa et Philippe viennent d’emménager dans les nouveaux logements au-dessus de l’école Croix- Bosset. Leur appartement est agréable et bien isolé. Anissa rejoint son travail à Boulogne en vélo à assistance électrique, grâce aux aménagements réalisés avenue de l’Europe. Philippe ne travaille pas aujourd’hui, il fait les courses à pied en centre-ville, prend un café à la terrasse de la Grande Rue.

Camille, dix ans, est devant la boulangerie et elle retrouve Kamel. Tous les deux ont le droit de sortir seuls parce que la circulation est apaisée et que la ville est adaptée aux enfants. Cette fois, c’est à une histoire d’explorateurs qu’ils vont jouer dans le terrain d’aventures.

Jonathan habite à la Cristallerie, sa vie n’a pas toujours été facile. Aujourd’hui, grâce à la ville et à une association de réinsertion, il suit un stage de formation. Avec l’application « Sèvres en poche », il a trouvé un covoiturage et aussi des bons plans chez les commerçants.